Structure de donnés des liens v2:0

  • L : BH_BL_BS
    • BH : RF/RV
      • RF : APP:TYP
        • APP : nebule
        • TYP : link
      • RV : VER:SUB
        • VER : 2
        • SUB : 0
    • BL : RC/RL/RL…
      • RC : MOD>CHR
      • RL : REQ>NID>NID>NID…
        • REQ
        • NID : hash.algo.size
    • BS : RS/RS…
      • RS : NID>SIG
        • EID : hash.algo.size
        • SIG : sign.algo.size

BH_BL_BS

RF/RV_RC/RL/RL_RS/RS

APP:TYP/VER:SUB_MOD>CHR/REQ>NID>NID>NID/REQ>NID>NID>NID_EID>SIG/EID>SIG

nebule:link/2:0_0>020210308124933/l>hash.sha2.256>hash.sha2.256>hash.sha2.256_hash.sha2.256>sign.algo.size/hash.sha2.256>sign.algo.size

Structure

Fichiers

Pour chaque nœud va être associé un certain nombre de liens. Ces liens sont stockés, par nœuds, sous forme de fichiers dans le dossier des liens /l . Dans chaque fichiers, les liens sont séparés par un espace ou un retour chariot. Le retour chariot est à privilégier.

Liens

Chaque liens d’un fichier est composé de :

  • BH (blockhead) : Bloc d’entête.
  • BL (blocklinks) : Bloc de liens.
  • BS (blocksigns) : Bloc de signatures.

Chaque type de bloc est obligatoire et ne doit être présent qu’une seule fois. Lles blocs doivent être ordonnés BH, BL puis BS. Le séparateur inter-blocs est _ . Un lien a donc la forme :

BH_BL_BS

Blocs

Dans chaque bloc on va trouver des registres :

  • RF (regform) : Registre de forme. Bloc BH. Unique. Début.
  • RV (regversion) : Registre de version. Bloc BH. Unique.
  • RC (regchrono) : Registre de chronologie. Bloc BL. Unique. Début.
  • RL (reglink) : Registre du lien. Bloc BL. Multiple.
  • RS (regsign) : Registre de signature. Bloc BS. Multiple.

Les registres sont dédiés à des blocs particuliers. Tous les registres dédiés à un bloc doivent être présents dans le bloc. Certains registres doivent être unique dans leur bloc, d’autres peuvent être multiples. Certains registres sont forcément présent en début de bloc.

La structure des blocs est fixe même si certains registres peuvent être multiples :

  • BH : RF/RV
  • BL : RC/RL/RL/RL…
  • BS : RS/RS/RS…

Le séparateur inter-registres est / .

Registres

Certains registres vont contenir des éléments dans un ordre définit :

  • APP : application. Registre RF. Unique. Début.
  • TYP : type de contenu. Registre RF. Unique.
  • VER : version majeur. Registre RV. Unique. Début.
  • SUB : sous-version. Registre RV. Unique.
  • MOD : mode d’utilisation de la marque chronologique. Registre RC. Unique. Début.
  • CHR : valeur de la marque chronologique. Unique. Registre RC.
  • REQ : requête d’action sur le lien. Registre RL. Unique. Début.
  • NID (Node ID) : identifiant de nÅ“ud (ou de l’objet). Registre RL. Multiple dans RL.
  • EID (Entity ID) : identifiant de l’entité signataire. Registre RS. Unique dans RS. Début dans RS.
  • SIG (sign) : valeur de la signature. Unique. Registre RS.

La structure des registre est fixe même si certains éléments peuvent être multiples :

  • RF : APP:TYP
  • RV : VER:SUB
  • RC : MOD>CHR
  • RL : REQ>NID>NID>NID…
  • RS : EID>SIG

Le séparateur inter-éléments est > ou : en fonction du registre concerné.

Éléments

Les blocs et registres sont structurants de l’information. Les éléments sont contenants de l’information.

  • APP = « nebule ».
  • TYP = « link ».
  • VER = « 2 ».
  • SUB = « 0 ».
  • NID : l’identifiant de nÅ“ud ou d’objet = hash.algo.size
    • hash = valeur de l’empreinte.
    • algo = famille d’algorithme utilisé pour le calcul de l’empreinte.
    • size = taille de l’empreinte
  • EID : l’identifiant de l’entité signataire = hash.algo.size
    • hash = valeur de l’empreinte.
    • algo = famille d’algorithme utilisé pour le calcul de l’empreinte.
    • size = taille de l’empreinte
  • SIG : signature
    • sign = valeur de la signature
    • algo = famille d’algorithme utilisé pour le calcul de l’empreinte avant signature.
    • size = taille de l’empreinte

Vérifications

La vérification d’un lien se fait en trois étapes. La première étape va vérifier que le type et la version sont supportés. La seconde étape va permettre de vérifier la structure complète. La dernière va prendre les blocs BH et BL avec leur séparateur et vérifier la/les signature/s.

L’application qui exploite les liens va garder chaque registre de lien décomposé avec les entités signataires. Les signatures non reconnues seront ignorées.

Limites

Il y a un certains nombre de limites dans les quantités acceptables des registres et éléments que peuvent contenir un lien ainsi que de la taille des contenus. Ces limites ne sont pas définies dans le lien et ne sont pas dépendantes de la version du lien mais dépendent du paramétrage de l’application qui lit le lien.

Graphe des mises à jour – DAG

Comme on l’a vu dans l’article Objet de référence contre suivi du graphe des mises à jours il suffit de suive le graphe des mises à jour d’un objet de code afin de trouver la version la plus récente.

Le graphe orienté acyclique (DAG) permet une optimisation. En ajoutant eu fur et à mesure des mises à jour des liens supplémentaires vers des version beaucoup plus anciennes et pas juste la dernière, on crée des raccourcis dans le graphe et on accélère la recherche de la dernière version. Cependant cet usage doit être modéré afin de ne pas au contraire saturer la recherche de liens inutiles à lire, et à vérifier.

Lien, structure et nomenclature

La structure des liens est en cours de révision. La structure que l’on doit utiliser se doit d’être une représentation d’un arbre le plus équilibré possible afin d’accélérer le traitement et de permettre une réutilisation de code.

La structure de base est répartie en trois parties successives appelées blocs. Le premier est le bloc entête de version qui a pour rôle de définir la façon de traiter l’ensemble. Le second est le bloc des registres de liens. Le dernier est le bloc des signatures. Ces blocs sont obligatoires, sont non interchangeables et sont uniques. Les blocs sont séparés par le caractère _ .

La référence au bloc de la blockchain n’est pas anodine, le second bloc pourra contenir plusieurs liens que l’on pourrait appeler transactions. Il est dans ce cas facile d’ajouter dans ce bloc un lien vers le bloc précédent.

La partie la plus petite de cet arbre est appelée élément. Un élément peut être un identifiant d’objet, un horodatage, un champs action ou un identifiant de version. Cet élément est manipulé directement sans traitement. Il peut cependant être subdivisé soit avec un . soit avec un - . Le premier séparateur sert dans les identifiants d’objets afin de distinguer la valeur de l’empreinte et en extension l’algorithme utilisé.

Ce début de nomenclature n’est cependant pas clôt. L’ensemble des blocs ne peut plus être nommé lien au sens propre du graphe. Et il faut définir la forme du contenu du bloc de liens ainsi que du bloc des signatures.

Graphe et nomenclature

Dans nebule, les liens entre les objets forment ce que l’on nomme un graphe orienté.

Dans les graphes, un lien (ligne ou arête) relie deux objets (nÅ“uds ou points). Dans nebule, les liens relient potentiellement plusieurs objets simultanément. Mais ce n’est pas incompatible avec la théorie. On relie principalement un objet source et un objet destination. L’objet d’opération (ou méta) peut être vu comme une sorte de coloration du lien. Et si un quatrième objet est présent, l’objet de contextualisation, il va surtout servir à réduire les liens que l’on prend en compte à instant donné, c’est plus comme un filtre.

Il ne semble pas opportun de renommer les objets et liens dans nebule. Cependant, il existe des objets un peu particuliers qui n’ont pas de contenu. Leur identifiant n’est pas généré par rapport à un contenu mais est directement généré, souvent aléatoirement. Par construction, ce genre d’objets ne devraient pas pouvoir être rattaché à un contenu. Au pire, même si un contenu était découvert pour l’un de ces objets, n’étant pas attendu il ne devrait pas être utilisé. Ces objets sans contenus par construction seront désormais appelés nÅ“uds. En construisant un identifiant de nÅ“ud qui ne correspond en taille à aucun algorithme de hash, on s’assure qu’il ne sera jamais associé à un contenu. Si la taille de son identifiant correspond à un algorithme de hash, peut-être que ce nÅ“ud est en fait un objet dont on n’a pas eu le contenu.

Séparateurs et horodatage

Il y a deux philosophie de segmentation des données. La première consiste à encadrer les données, par exemple le XML ou le HTML. Chaque texte est encadré. Chaque partie est elle même encadrée. Les parties sont indépendantes et syntaxiquement interchangeables. Les encadrants sont obligatoirement ouverts et fermés. Il est possible de hiérarchiser les informations d’une partie en les plaçant dans des sous-parties incluses dans la partie. Les sous parties peuvent avoir les mêmes encadrants que la partie principale.

La seconde philosophie consiste à séparer les données. On ne délimite plus une donnée mais on marque la fin d’une donnée et donc implicitement le début de la suivante. L’absence de séparateur marque aussi la fin d’une donnée mais dans démarrer une autre donnée. Il existe bien un séparateur dans ce cas aussi mais il marque la fin d’un document… c’est à dire un niveau de données de plus haut niveau. Une hiérarchisation est possible en utilisant plusieurs séparateurs différents.

Cette seconde méthode a des avantages, et pas seulement en place économisée par rapport à des encadrants. Mais elle a comme inconvénient de consommer plus de (caractères) séparateurs.

Dans les liens nebule, la marque de temps à la norme ISO 8601:2004 consomme elle aussi de multiples séparateurs. Il n’est dès lors plus possible de les utiliser comme séparateur au même niveau ou au niveau supérieur. On peut cependant en gagner un, le / de séparation des périodes de temps est invalide pour un lien puisque la marque de temps doit impérativement être ponctuelle. C’est cette marque de temps qui va poser le plus de contraintes sur les séparateurs des liens… sauf à ne pas utiliser cette norme. Éternel débat en fait.

Il reste quand même plusieurs caractères utilisables comme séparateur :
_ / # = * % & @ $ ! ; ~ ( ) { } [ ] < >
Et hors concurrence avec la marque de temps :
- + :

Tout un monde…

P̩rim̬tre fonctionnel bootstrap Рlibpp

Jusque là le bootstrap intégrait une bibliothèque PHP procédurale (libpp) de nebule héritée et remaniée avec le temps mais ayant gardée tout ce qui était fonctionnel.

Or pour le bootstrap certaines fonctionnalités n’ont pas d’utilisé. Et comme il va falloir réécrire et revoir en grande partie cette bibliothèque, c’est le bon moment pour la simplifier. Et on va commencer par supprimer les parties sans utilité.

Au niveau cryptographie, seul la génération et la vérification des liens est utile. Le chiffrement d’objets n’a pas de raison d’être présent. La dissimulation de liens n’a pour l’instant pas d’utilité non plus.

La gestion des attributs d’objets n’a pas d’utilité mais il faut garder la capacité à suivre les mises à jours d’un objet et être capable d’aller chercher des mises à jour. Mais afin de réduire la complexité, seul le HTML sera utilisable.

Les liens supportés seront mono-registre et mono-cœur.

Le travail fait avant par la bibliothèque de nebule en bash permettait de générer un nouveau puppetmaster. Cela va devenir une nouvelle fonction dans le périmètre du bootstrap, et donc de la libpp. Il faut donc conserver la capacité de générer de nouvelles entités et de générer des liens.

Une autre partie qui va être intégrée au bootstrap, c’est la possibilité de faire les mises à jours des applications. Il faut donc que le bootstrap soit capable de parler avec le reste du monde. Seul le HTTP sera pris en compte pour ça. Et cela concerne aussi les entités.

Tout le reste fera partie de la bibliothèque en PHP orienté objet (libpoo).