Ajout d’émotions sur des objets – suite 5

Suite des articles sur l’Ajout d’émotions sur des objets et suites 1 2 3 4, et Liens d’émotions.

Les émotions sont une façon de marque un objet avec les sentiments qu’il inspire à un être humain. Les émotions sont plutôt subjectives là où les avis sont beaucoup plus objectifs. L’intensité que l’on peut donner à une émotion est toujours strictement positive, le sens positif ou négatif est déjà porté par l’émotion elle-même.

Les émotions étaient fonctionnelles sur les objets dans la version 2014 de sylabe. Mais le code ayant été entièrement repris en php orienté objet elles n’avaient pas encore été ré-implémentées. Le nécessaire est en cours de remise en place directement dans la librairie afin que les émotions sur les objets soient utilisables dans toutes les applications.

Les avis ne sont pas maintenus.

En parallèle, la réflexion à long terme continue sur la pondération des objets en vue de leur suppression automatique au bout d’une certain temps. C’est la fonction d’oublie. Il faut que cette pondération soit aisée à utiliser, et surtout qu’elle ait du sens pour que l’utilisateur prenne le temps de le faire. Il est clair qu’un champs de quantification de l’importance d’un objet est difficile à appréhender et ne sera pas utilisé. La gestion des émotions devient en fait la solution évidente de pondération. De plus, la pondération d’un objet, qui représente en fait son importance, peut influencer et être influencée par l’importance des objets qui lui sont liés.
Sans pondération, la gestion de l’oublie sera chaotique et peu fiable, donc pas utilisée.

La facilité d’usage et la pertinence de la solution de gestion des émotions et leurs pondérations sont donc déterminantes pour leur adoption et leur utilisation mais aussi plus tard pour la gestion de l’oublie.

Il y a plusieurs façons d’aborder la pondération avec les émotions. Continuer la lecture de Ajout d’émotions sur des objets – suite 5

Attribuer des propriétés aux autres entités

Je viens de voir que dans Google Plus on peut ajouter des coordonnées à une autre personnes. Celles-ci restent confidentielles, c’est à dire juste connues de soi-même… et de Google. C’est un peu intrusif quand même puisque Google peut connaître les coordonnées d’une personne alors qu’elle ne les a pas volontairement publiées.

Dans nebule, on peut faire la même chose puisque l’on dérive d’une entité une propriété. Mais on en reste maître et, si les liens sont masqués, cela reste complètement privé. Même l’entité qui en fait l’objet ne le sait pas. La différence, c’est que on est le seul ‘strictement’ à connaître cet ajout de propriété et cela n’apparaît pas dans une base de donnée d’une grande société que l’on ne maîtrise pas.

Ajout d’émotions sur des objets – suite 4

L’ajout des émotions sur les objets n’en finit pas d’arriver… Le code est un peu délicat à manipuler. Certaines choses doivent s’afficher dans certaines conditions et à certains endroits en fonction de l’objet que l’on regarde. C’est la suite de l’article Ajout d’émotions sur des objets – suite 3.

Les émotions supportées sont encore sujet à discussion, mais leur fonctionnement est maintenant stable.
Les émotions doivent être considérées comme des groupes, donc les objets que l’on marque avec ces émotions appartiennent en quelque sorte aux groupes d’émotions en question.
On parle ici des émotions, mais la mécanique est exactement la même pour les avis. Seul l’affichage peut varier un peu.

Quelques règles de fonctionnement :

  1. Une émotion est représentée sur un objet par un lien de type ‘f‘ de l’émotion vers l’objet, méta à ‘0‘.
  2. Une émotion sur un objet dérivé lié à l’objet en cours est un lien de type ‘f‘ de l’émotion vers l’objet dérivé avec comme méta l’objet en cours.
  3. Une émotion sur un objet dérivé, donc avec un contexte, n’apparaît pas dans le mode affichage de l’objet, même si on est sur l’objet dérivé en question.

Cela donne par exemple ce genre de vue en mode navigation :

shot-2014-04-22_20-44-57

On remarque que toutes les lignes qui disent que l’objet est de type image/jpeg ont l’émotion ‘J'approuve‘. C’est fait en une seule fois. C’est le même lien derrière qui dit que l’on approuve que l’objet soit de ce type, indépendamment de qui le dit.

Si on se place sur l’objet du milieu dans la petite conversation en cascade, on peut observer ça :

shot-2014-04-22_20-50-34

On voit que les autres commentaires sont fait dans le contexte d’un objet spécifique, un autre objet surtout. On voit aussi qu’une émotion est placée sur l’un des commentaire, cette émotion est cependant dans le contexte de l’objet en cours, ce commentaire, et non dans le contexte de l’objet dans lequel à lieu la discussion. Si on regarde l’affichage précédent, cette émotion n’apparaît pas.

Ajout d’émotions sur des objets – suite 3

Toujours pas de modification dans les émotions de base assumées. On reste sur la roue de Plutchik.

Par contre, la mise en place de la gestion des émotions et avis dans sylabe montre que l’utilisation des liens ‘l‘ n’est pas optimale et qu’il vaudrait mieux utiliser des liens ‘f‘ à la place. Si on change de type de liens, cela rendra caduc les objets ‘nebule/objet/emotion‘ et ‘nebule/objet/avis‘. A la place pourra être utilisé un objet méta comme une sorte de contexte du lien.
CF avancement du 11/04/2014.

Ajout d’émotions sur des objets – suite 2

Voici la suite des articles Ajout d’émotions sur des objets et suite, ainsi que de Liens d’émotions.

La liste d’émotions étant trop grande et malgré tout incomplète, il a été nécessaire de revoir l’ensemble pour le scinder. Plutôt que de réinventer la roue, un petit tour du côté de Wikipédia a permit de prendre un bon départ. La version anglaise de la page émotion est plus complète et plus intéressante.

Il y a plusieurs repères possibles pour traiter et cataloguer les émotions. On va s’arrêter sur les travaux de Robert Plutchik . Le résultat, c’est la roue de Plutchik :

Plutchik-wheel_fr.svg

Continuer la lecture de Ajout d’émotions sur des objets – suite 2