Une notion nouvelle émerge de l’utilisation des liens et objets de nebule, c’est le routage.
Cette notion est assimilée au routage que l’on connaît en réseau. Le routage réseau est lui-même dérivé du routage de marchandises. C’est à dire le transports de marchandises variées en masse par la route mais répartit sur plusieurs transporteurs, tel des paquets dans le réseau.
Cette notion profonde de transport de quelque chose d’un point à un autre se distingue du transport par commutation (de circuit). Dans le cas de la commutation, c’est comme si l’on réservait pour un temps donné (qui peut être assez long) une voie de circulation complète de façon continue du point de départ au point d’arrivée. Cette préemption de la route est complète que la route soit utilisée ou pas. Cela peut répondre à des besoins spécifiques, voie réservée aux bus, mais en règle générale c’est plutôt générateur d’une grosse perte de rendement.
Avec les liens nebule, il peut se passer un peu comme du routage lorsque les liens sont générés par l’entité source et synchronisées parfois par des chemins différents vers une autre entité. Il en est de même avec un objet qui, si il est fractionné (liens type s
), peut être relayé par des entités différentes, voir être déjà des objets issus de plusieurs autres objets eux-même fractionnés.
Le but est ici de s’assurer (ou pas) du bon acheminement des liens et des objets vers une entité tierce. Si les liens, qui sont signés, doivent impérativement être relayés, les objets peuvent tout à fait être ré-assemblés en fonction de fragments déjà présents chez (ou proche de) l’entité destinataire.
Bien sûr, en temps normal, les entités sont tout à fait capables de se connecter directement les unes aux autres sans passer par des relais. Le routage est une notion qui n’interviendra en pratique que entre deux entités qui sont sur des réseaux filtrés, semi-isolés, ou complètement isolés. Dans ce dernier cas, un vecteur est nécessaire entre les deux réseaux (clé USB par exemple)…