Ajout d’émotions sur des objets – suite 5

Suite des articles sur l’Ajout d’émotions sur des objets et suites 1 2 3 4, et Liens d’émotions.

Les émotions sont une façon de marque un objet avec les sentiments qu’il inspire à un être humain. Les émotions sont plutôt subjectives là où les avis sont beaucoup plus objectifs. L’intensité que l’on peut donner à une émotion est toujours strictement positive, le sens positif ou négatif est déjà porté par l’émotion elle-même.

Les émotions étaient fonctionnelles sur les objets dans la version 2014 de sylabe. Mais le code ayant été entièrement repris en php orienté objet elles n’avaient pas encore été ré-implémentées. Le nécessaire est en cours de remise en place directement dans la librairie afin que les émotions sur les objets soient utilisables dans toutes les applications.

Les avis ne sont pas maintenus.

En parallèle, la réflexion à long terme continue sur la pondération des objets en vue de leur suppression automatique au bout d’une certain temps. C’est la fonction d’oublie. Il faut que cette pondération soit aisée à utiliser, et surtout qu’elle ait du sens pour que l’utilisateur prenne le temps de le faire. Il est clair qu’un champs de quantification de l’importance d’un objet est difficile à appréhender et ne sera pas utilisé. La gestion des émotions devient en fait la solution évidente de pondération. De plus, la pondération d’un objet, qui représente en fait son importance, peut influencer et être influencée par l’importance des objets qui lui sont liés.
Sans pondération, la gestion de l’oublie sera chaotique et peu fiable, donc pas utilisée.

La facilité d’usage et la pertinence de la solution de gestion des émotions et leurs pondérations sont donc déterminantes pour leur adoption et leur utilisation mais aussi plus tard pour la gestion de l’oublie.

Il y a plusieurs façons d’aborder la pondération avec les émotions. Continuer la lecture de Ajout d’émotions sur des objets – suite 5

Objet virtuel avec r̫le РSuite

Suite de l’article sur l’Objet virtuel avec rôle.

En fait ces objets virtuels sont déjà utilisés dans sylabe et klicty mais on se contente actuellement de générer aléatoirement la valeur de l’ID des objets de références. Et la taille des ID est la même qu’une empreinte de 256bits.

C’est utilisé par les groupes, le code va évoluer pour réduire la taille d’aléa utilisé et ajouter une partie fixe ou moins aléatoire. C’est utilisé par les nÅ“uds mais ils vont disparaître. Et c’est utilisé par les arborescences, là aussi le code va évoluer.

La part d’aléa va être réduite à 64bits et un préfixe assez long sera ajouté pour avoir une taille d’ID entre 129 et 191bits.

Objet virtuel avec rôle

Jusque là, la très grande majorité des objets créés ont ou ont eu un contenu et donc une empreinte numérique unique leur correspondant. Cela a été le cas pour les images utilisées comme icônes dans sylabe par exemple.

Le problème par exemple avec l’usage direct de l’objet d’une icône fait que si on veut la mettre à jour ou tout simplement en utiliser une autre à la place il faut faire un lien de mise à jour. Or ce lien de mise à jour n’a pas de contexte, c’est à dire de champs méta dans le lien. Ainsi la mise à jour s’applique partout alors que ce n’était pas forcément le but recherché.

La solution est de ne pas faire référence directement à une image que l’on veut utiliser dans une application mais à un objet intermédiaire. Cet objet n’a même pas besoin d’avoir un contenu, il est virtuel puisque son empreinte est créé de toute pièce sans contenu. Et du fait du fonctionnement de nebule, il n’aura probablement jamais (dans un temps raisonnable) de contenu correspondant à son empreinte.

Ainsi, on ne référence plus dans une application des icônes mais des objets intermédiaires. Et les icônes à utiliser n’ont plus à être des liens de mise à jour u mais deviennent naturellement des liens de dérivation f avec comme champs méta l’objet intermédiaire ou l’objet de l’application. Je pense que l’objet intermédiaire est le mieux comme champs méta.

Comme l’empreinte de cet objet virtuel est purement indicative, on peut lui mettre n’importe quelle valeur de n’importe quelle taille. Il est cependant raisonnable de choisir une taille assez conséquente et différente des tailles usuelles des empreintes, c’est à dire différent de 64, 128, 224, 256, 384, 512, 768, 1024, 2048, 4096, etc…
Chaque application peut utiliser les mêmes valeurs pour ces objets intermédiaires ou choisir par exemple une valeur préfixe identique suivi de valeurs aléatoires jusqu’à avoir une taille raisonnable.

Page installation pour Linux Ubuntu 16.04

La documentation d’installation est en cours de rédaction aussi pour Linux Ubuntu 16.04 LTS avec la version 020160830.

Cette version de Ubuntu propose par défaut la version 7 de php. C’est donc aussi un test sur cette toute nouvelle de php et à première vue ça fonctionne correctement.

Si l’installation de Ubuntu s’est faite avec 512Mo de RAM, à 256Mo ça ne passe pas, le serveur tourne ensuite sans problème avec Apache2/PHP7 avec 256Mo seulement… et étonnamment le bootstrap et les applications tournent aussi sur cette configuration réduite !
C’est bon signe, les optimisations du code sont efficaces.
Le serveur de test : ubuntu16.test.nebule.net