Jusque là , la très grande majorité des objets créés ont ou ont eu un contenu et donc une empreinte numérique unique leur correspondant. Cela a été le cas pour les images utilisées comme icônes dans sylabe par exemple.
Le problème par exemple avec l’usage direct de l’objet d’une icône fait que si on veut la mettre à jour ou tout simplement en utiliser une autre à la place il faut faire un lien de mise à jour. Or ce lien de mise à jour n’a pas de contexte, c’est à dire de champs méta dans le lien. Ainsi la mise à jour s’applique partout alors que ce n’était pas forcément le but recherché.
La solution est de ne pas faire référence directement à une image que l’on veut utiliser dans une application mais à un objet intermédiaire. Cet objet n’a même pas besoin d’avoir un contenu, il est virtuel puisque son empreinte est créé de toute pièce sans contenu. Et du fait du fonctionnement de nebule, il n’aura probablement jamais (dans un temps raisonnable) de contenu correspondant à son empreinte.
Ainsi, on ne référence plus dans une application des icônes mais des objets intermédiaires. Et les icônes à utiliser n’ont plus à être des liens de mise à jour u
mais deviennent naturellement des liens de dérivation f
avec comme champs méta l’objet intermédiaire ou l’objet de l’application. Je pense que l’objet intermédiaire est le mieux comme champs méta.
Comme l’empreinte de cet objet virtuel est purement indicative, on peut lui mettre n’importe quelle valeur de n’importe quelle taille. Il est cependant raisonnable de choisir une taille assez conséquente et différente des tailles usuelles des empreintes, c’est à dire différent de 64, 128, 224, 256, 384, 512, 768, 1024, 2048, 4096, etc…
Chaque application peut utiliser les mêmes valeurs pour ces objets intermédiaires ou choisir par exemple une valeur préfixe identique suivi de valeurs aléatoires jusqu’à avoir une taille raisonnable.