Karen Owen doit encore s’en mordre les doigts…
Une petite blague entre copines sous la forme d’une thèse de 42 pages se retrouve à la une de tous les médias. Par exemple sur Rue89.
En dehors de l’anecdote sur le caractère viral que peut prendre l’information, cela montre surtout, si on en doutait encore, que le fait de partager une information nous fait forcément en perdre le contrôle. Ce n’est pas le fait de rendre publique l’information en lui même mais vraiment l’acte de partage qui est important.
Je cherche le fameux PPT du délit… tout le monde en parle… mais difficile de mettre la main sur le fameux PPT…
En gros, tout le monde parle assurément de l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu l’homme…
En claire, tout le monde y fait référence, mais peu de gens détiennent le document original. La profusion numérique a été rattrapée par une gestion de donnée à très court terme. Dans 5 ans on se souviendra encore de Karen Owen, mais on ne saura plus pourquoi… et c’est déjà le cas pour beaucoup de choses!
Ouf, le voici :