Un mécanisme de cosignature fonctionnant sur le principe de quota peut être une réponse possible à la validation de transactions dans un groupe fermé d’entités. La difficulté est que chaque entité peut ne pas reconnaître la même composition du groupe du fait du traitement social des liens du groupe. Mais si le groupe est explicitement définit dans l’objet de groupe avec le quota attendu, alors cela devient jouable…