Modification des sources d’aléa

La bibliothèque nebule en PHP orienté objet présente deux fonctions de génération d’aléa dans la classe dédiée à la cryptographie.

Les fonctions :

  • public function getPseudoRandom($size=32)
  • public function getStrongRandom($size=32)

La première fonction getPseudoRandom permet de générer un aléa correct mais pas fiable, c’est à dire de qualité mais pas pour un usage cryptographique sûr. Il va servir principalement pour générer des identifiants d’objets de références.

La seconde fonction getStrongRandom permet de générer un aléa beaucoup plus fiable, c’est à dire réellement non prédictible, pour un usage cryptographique sûr. Cependant cet aléa est précieux parce que sa génération prendre du temps et peut consommer des ressources, ce qui limite la quantité de bon aléa que l’on peut demander à un instant donné. Il doit donc être réservé strictement à des usages requérant un aléa fiable.

Or, la fonction getPseudoRandom fait appel à la même fonction interne openssl_random_pseudo_bytes que getStrongRandom, ce qui veut dire qu’elle consomme de l’aléa précieux alors que ce n’est pas nécessaire.

Cette fonction getPseudoRandom va être modifiée pour générer un aléa correct mais non fiable à partir de la date/heure et une préparation via une ou plusieurs fonctions de hachage. Elle ne devra en aucun cas être utilisée comme source pour générer des mots de passes de session ou de protection des objets, etc… nécessitant un aléa de qualité cryptographique.

Bugg d’affichage des autorités globales dans option

Il y a un petit problème dans l’affichage des autorités globales dans l’application option. Par exemple ici :

https://sylabe.com/?a=21215100000000…0000000212151&view=gauth
shot-2017-06-02_19-51-13

Mais une partie de l’affichage est bon est correspond bien à l’entité bachue qui gère le code. Un petit tour par le bootstrap permet de s’en assurer :

https://sylabe.com/?b
shot-2017-06-02_19-57-13

bootstrap – Mise en ligne

Une nouvelle 020170508 version du bootstrap est mise en ligne.

Le développement continue sur l’application option avec sa séparation de la gestion des autorités globales et locales.

La réflexion est toujours en cours sur l’avenir des autorités globales mais les autorités locales vont sûrement être scindées en plusieurs rôles sous des dénominations différentes.

Pas d’installateur complet pour cette fois, les deux applications sylabe et klicty sont mise à jour.

Le code est disponible ici :

94373583d31df5241fdf19de50be0e65fb6f65387188866818aebadd5a7217c5

PFS sans connexion

La confidentialité persistante (Perfect Forward Secrecy – PFS pour les intimes) permet lors d’échanges entre personnes via un support protégé d’oublier le contenu des échanges précédents. Lorsqu’elle est bien implémentée, il est impossible de pouvoir reconstituer les échanges précédents d’une « conversation », y compris pour les personnes concernées.

Lors de la compromission du moyen de communication, seules les conversations en cours sont accessibles. Les précédentes conversations sont définitivement inaccessibles y compris pour un adversaire qui aurait enregistré tous les échanges chiffrés et obtiendrait par la force le compte d’un utilisateur.

La meilleur méthode pour arriver à ce résultat est d’utiliser un secret de session partagé entre les personnes qui communiques, négocié en début de conversation et volontairement oublié en fin de conversation. La négociation peut être faite notamment via un échange de type Diffie-Hellman (DH).

La PFS a donc principalement deux contraintes. Il faut échanger un secret temporaire avec ses correspondants. Et il faut que ce secret soient privés, c’est à dire stockés uniquement en interne sur les machines destinataires.

De par sa conception acentrée et potentiellement non directement inter-connecté, nebule ne permet pas la mise en place directe d’une forme de PFS. Fondamentalement, nebule permet de gérer de l’information et non des connexions. La non connexion directe entre les correspondants empêche une négociation préalable instantanée d’un secret partagé type DH. Ensuite, toute la protection de la partie privée des entités repose sur le chiffrement des objets et l’offuscation des liens, mais tous les liens et objets ainsi protégés sont partagés publiquement et donc enregistrables. Il n’est pas possible de se baser sur ces mécanismes de protection pour la PFS.

Il existe peut-être un moyen d’implémenter une PFS sûr dans nebule mais au prix d’un grand nombre d’objets à synchroniser, à voir…

Entité multi-rôles – suite

Suite de l’article sur les Entité multi-rôles.

La gestion de multiples clés cryptographiques asymétriques dépendantes d’une seule clé principale impose des contraintes lors de la synchronisation d’entité mais il n’est pas difficile à mettre en place.

La première idée serait de protéger les mots de passe des clés secondaires avec la clé primaire. Mais cette clé primaire a avant tout le rôle d’authentification, elle ne doit donc pas servir à faire du chiffrement.

La seconde idée consiste à dériver (PBKDF) les mots de passe des clé secondaires du mot de passe de déverrouillage de la clé primaire. Ainsi la clé primaire ne sert qu’à l’authentification. Cela implique aussi que la modification du mot de passe de la clé primaire force le changement de mot de passe de toutes les clés secondaires associées.

La dérivation des mots de passe peut prendre en compte la partie publique de la clé primaire et de la clé secondaire concernée. Elle peut aussi prendre en compte, en plus, l’ID dans nebule du rôle associé. Une implémentation complète devra être proposée.

Entité multi-rôles

D’un point de vue robustesse et sécurisation des clés cryptographiques, il est recommandé de séparer les rôles des différentes clés utilisées. Une clé crypto ne doit avoir qu’un seul usage, c’est à dire un seul rôle. Dans l’implémentation des entités dans nebule, les entités étant des clés cryptographiques avec de multiples rôles, il va falloir les scinder.

Les rôles les plus fréquents sont :

  1. L’authentification. C’est utilisé pour le déverrouillage des entités.
  2. La signature. Tous les liens sont signés.
  3. Le chiffrement. Il intervient dans la protection des objets et la dissimulation des liens.

Toutes les clés liées à des rôles peuvent être rattachées à une clé cryptographique asymétrique principale et reliées à celle-ci par des liens. Il est possible par la suite d’étendre sans problème les rôles comme par exemple les rôles d’autorités locales.

La segmentation des clés par rôles impose la gestion de multiples clés pour une entité, notamment lors de la synchronisation sur différents supports. Mais elle permet en cas de compromission d’une clé de limiter l’étendu des dégâts.

Modification de l’ordre de prise en compte des propriétés d’un objet

Je reprends progressivement le développement de nebule pour corriger le bugg de klicty et améliorer dans sylabe le module correspondant.
Et je tombe sur un problème non dans l’implémentation mais dans la façon dont on prend en compte les propriétés d’un objet, ou plutôt l’ordre de prise en compte lorsque cela est fait plusieurs fois. C’est à dire, quel propriété retient-on en priorité lorsqu’il y a plusieurs liens d’un objet vers plusieurs propriétés.
Le problème n’a pas une solution difficile en soi mais le fait qu’il concerne une brique importante de nebule me freine à le modifier sans plus de réflexion. Les implications que cela engendre peuvent être très importantes dans pleins d’endroits du code de la bibliothèque de nebule et des applications. Continuer la lecture de Modification de l’ordre de prise en compte des propriétés d’un objet

Échange ou téléchargement d’objet

Un objet peut être récupéré de deux façons.

  1. Via un lien web avec comme argument /o/id on télécharge le contenu de l’objet avec comme nom son identifiant id. L’empreinte est ensuite vérifié pour voir si elle correspond à l’identifiant.
  2. Via un lien web avec comme argument ?o=id on télécharge le contenu de l’objet avec comme nom le nom déclaré par les liens nebule. cela permet de télécharger l’objet sous une forme de fichier classique. On fait ainsi une dé-nébulisation de l’objet. C’est aussi le seul moyen d’avoir accès au contenu protégé hors nebule.

Mais pour un utilisateur, ces deux méthodes ne se valent pas. La première méthode sert à la synchronisation et l’échange d’objets entre programmes et n’a pas pas d’intérêt direct pour l’utilisateur. La seconde lui permet au contraire de reprendre un objet sous une forme classique de fichier.

Actuellement un problème existe dans klicty puisque un objet non protégé peut être téléchargé, c’est le but de l’application, mais c’est fait avec la mauvaise méthode. Donc le fichier téléchargé n’a pas le bon nom. Alors que pour un objet protégé ce problème n’existe pas puisqu’il faut impérativement passer par la deuxième méthode pour avoir accès au contenu non protégé.

La première méthode doit être exclusivement réservée à la synchronisation d’objets.

CF : bootstrap – Arguments en ligne et accès directs

bootstrap – Mise en ligne

Une nouvelle 020161212 version du bootstrap est mise en ligne.

Cette version introduit les entités de recouvrement. Le fonctionnement est complet et tel que décrit dans les articles Entités de recouvrement, implémentation et configuration.

Le développement continue sur l’application option afin de la rendre plus facile à utiliser et pour ajouter de nouvelles possibilités. Il intègre la gestion des entités de recouvrement mais un bugg résiduel. Il n’est pas possible de définir une entité de recouvrement si l’entité instance de serveur n’est pas autorité locale et entité de recouvrement. Ce sera corrigé pour la prochaine version, il suffira que l’entité instance de serveur soit uniquement autorité locale.
Les prochaines versions de l’application option et de la bibliothèque feront la distinction entre autorités locales et globales. La notion d’administrateur pourrait apparaître en plus.

Le code est disponible ici :

ae5aa99c9ab66d37a43a1611c69a0aca2ff746b44ec68caf2f6f6bc024011f4f

Suppression et oubli

Comme évoqué il y a déjà un certain temps dans l’article sur Le paradoxe du droit à l’oubli, il n’est pas évident du tout que la suppression pure et simple d’une information soit généralement la meilleur solution.

Pour les individus, l’oubli d’une information est vu soit comme un trouble cognitif soit comme une nécessité. C’est un problème si l’information que l’on avait acquise n’est plus disponible alors que l’on en a grand besoin. Les personnes qui perdent la mémoire perdent toute autonomie. D’un autre côté, se souvenir de tout est aussi un problème. La trop grande quantité d’information sur des évènements sans intérêt perturbe la vie courante.

Dans nebule, la suppression des objets répond à deux besoins. Le premier besoin correspond à la récupération de la place mémoire pour stocker d’autres objets plus récents et à priori plus importants. Et le deuxième permet surtout dans la vie courante de ne pas se surcharger d’informations qui n’ont pas d’intérêt immédiat… voir plus d’intérêt du tout.

Mais cette suppression qui est une manière courante de travailler en informatique n’est elle pas problématique ?
L’oubli est la vraie raison de la suppression des objets. Un autre mécanisme doit être trouvé pour remplacer la nécessité de supprimer des objets. Le retrait des liens attachés à un objet ne supprime pas ces liens mais les enlève de l’usage courant. La pondération des émotions d’un objet et le traitement qu’il en est fait permet de gérer aussi le bannissement dans un contexte social des entités.

Le sujet devra être approfondi avant tout mise en applications…

Entités de recouvrement – configuration

Suite des articles Entités de recouvrement et implémentation.

L’objet de référence de définition des entités de recouvrement est l’objet contenant :

nebule/objet/entite/recouvrement

De nouvelles options permettent de gérer la prise en compte des entités de recouvrement par la bibliothèque nebule en PHP :

  1. permitRecoveryEntities (boolean, critical) : commutateur global d’activation des entités de recouvrement via les liens des autorités strictement locales. Par défaut à false.
  2. permitRecoveryRemoveEntity (boolean, careful) : commutateur qui permet à une entité de supprimer le partage de la protection d’un objet avec une entité de recouvrement. Par défaut à false.
  3. permitInstanceEntityAsRecovery (boolean, critical) : commutateur de définition de l’entité instance locale comme entité de recouvrement. Outrepasse les liens. Par défaut à false.
  4. permitDefaultEntityAsRecovery (boolean, critical) :commutateur de définition de l’entité par défaut comme entité de recouvrement. Outrepasse les liens. Par défaut à false.

Toutes les options sont en lecture seule, c’est à dire que les liens d’options ne sont pas pris en compte. Au besoin, ces options doivent être modifiées dans le fichier d’environnement.

A false, par défaut, la première option désactive complètement la détection des entités de recouvrement et le mécanisme de partage de protection des objets pour les entités de recouvrement.

La deuxième option, si à true, permet à une entité de supprimer le partage de protection à une entité de recouvrement particulière. Cette action doit être faite après la protection, réalisée systématiquement, et sur tous les objets protégés un par un. Cette option va faire disparaître le bouton de suppression de partage de protection dans les affichages, mais elle est aussi vérifiée lors de la suppression effective du partage de protection d’un objet si l’utilisateur tente la suppression de force.

Le lien de déclaration d’une entité de recouvrement a la forme :

  • action : f
  • source : entité instance locale, par exemple = 3af39596818c1229d7a3d08b9f768622903951305df728609a68a2957f7f3882
  • cible : entité de recouvrement, par exemple = 19762515dd804577f9fd8c005a7803ddee413f264319748e30aa2aedf318ca57
  • méta : objet de référence de recouvrement

La désactivation est un lien de type x.

Les liens doivent être signés de l’entité instance locale ou de l’entité par défaut en fonction des options de permission.

Entités de recouvrement – implémentation

Dans le précédent article sur les Entités de recouvrement qui date de plus de 6 mois, il était question de l’implémentation du mécanisme dans le code. Jusque là la liste des entités de recouvrement était renvoyée vide.
Ce mécanisme peut être une contrainte légale dans certains pays mais ce peut être aussi un moyen d’assurer plus sereinement la disponibilité des données sans remettre en question significativement la confidentialité de celles-ci. Sa portée est strictement local et ne doit pas devenir un comportement global sous peine de rompre la confiance dans l’ensemble du code de nebule.

La prochaine version de la bibliothèque nebule en PHP intègre le code nécessaire à la détection des entités marquées localement comme entités de recouvrement et le code qui se charge de dupliquer la protection des objets pour ces entités.

La définition des entités de recouvrement est purement locale et est attachée à l’entité instance locale. La détection d’entité de recouvrement se fait sur un lien de type f entre chaque entité définie comme entité de recouvrement et l’entité instance locale. Le champ méta du lien est l’objet de référence contenant nebule/objet/entite/recouvrement. Seuls les liens des autorités strictement locales sont pris en compte, c’est à dire à l’exception du puppetmaster, du maître de la sécurité et du maître du code.

La duplication de la protection se fait au niveau de la fonction (unique) de protection d’un objet setProtected(). Afin d’éviter la suppression du partage de protection avec une entité de recouvrement, la fonction cancelShareProtectionTo() ne supprime pas ce partage si l’entité est dans la liste des entités de recouvrement.
Afin de ne pas perturber l’utilisateur, les applications affichent tous les partages de protection mais n’affichent pas le bouton correspondant pour ces entités de recouvrement.

Les applications option, sylabe et klicty permettaient déjà l’affichage des entités de recouvrement même si elle était vide. Ces affichages ont été améliorés afin d’afficher en plus l’entité autorité locale qui a activé l’entité comme entité de recouvrement. Le but est d’avoir un mécanisme qui peut être contraignant et indiscret mais dont le fonctionnement doit être ouvert et loyal pour maintenir la confiance de l’utilisateur.
L’application option est maintenant le centre de gestion des entités de recouvrement. Il est possible, lorsque l’on déverrouille l’entité instance de serveur, d’ajouter ou de retirer des entités à la liste. Les autres entités ne peuvent faire que de l’affichage. Si un lien est généré par une autre entité, il est ignoré.

bootstrap – Mise en ligne

Une nouvelle 020161129 version du bootstrap est mise en ligne.

Cette version corrige les problèmes d’accès à l’application 0.

Le développement continue sur l’application option afin de la rendre plus facile à utiliser et pour ajouter de nouvelles possibilités.

Les icônes des émotions sont de retour dans sylabe et klicty.

Le code est disponible ici :

a9cd70c397af6c02ffc7cf964a89beaed941293cb8fca6ae80947161f7bc1465

bootstrap – Mise en ligne

Une nouvelle 020161127 version du bootstrap est mise en ligne.

Elle est en cours de test, il semble y avoir un petit problème pour accéder à l’application 0 dans certains cas. Cela concerne la partie de code qui vérifie l’activation des applications pour valider le changement d’application.

bootstrap – Désactivation des applications par défaut

Le bootstrap sait maintenant gérer les applications activées. Ça se passe à deux niveaux.

  1. L’application 0 de sélection des applications n’affiche que les applications activées.
  2. Le moteur de sélection de l’application à afficher ne permet pas de sélectionner une application si elle n’est pas activée.

L’activation d’une application se fait sur trois critères :

  1. C’est l’application par défaut définit par l’option defaultApplication, elle est par défaut activée et non désactivable.
  2. C’est une des applications en liste blanche. La liste blanche est une constante définie dans le bootstrap et dans la bibliothèque. Elleet non désactivable.
  3. L’entité instance du serveur a activé explicitement l’application par un lien.

L’entité maître du code bachue ne peut pas activer une application sauf à modifier les constantes dans le code.

Une application peut être activée/désactivée via l’application option, la seule application aujourd’hui en liste blanche. Il faut aller dans la partie des applications et il faut être connecté avec l’instance entité du serveur.

020161127 shot-2016-11-27_18-52-59

Le lien d’activation d’une application a la forme :

  • action : f
  • source : objet de référence de l’application, par exemple = e5ce3e9938247402722233e4698cda4adb44bb2e01aa0687
  • cible : objet de référence d’activation = e0e9ce893ea87b91f6e276b3839fed99f050168a0eb986354adc63abb3d7335c
  • méta : objet de référence de l’application, par exemple = e5ce3e9938247402722233e4698cda4adb44bb2e01aa0687

La désactivation est un lien de type x.

bootstrap – Avec ou sans pré-chargement des applications

Le pré-chargement des applications par le bootstrap va permettre d’améliorer l’expérience utilisateur lors du premier chargement d’une application. Même si les applications n’ont pas encore été optimisées pour en profiter pleinement, c’est déjà fonctionnel et efficace.

Par contre, comme énoncé dans l’article pré-chargement des applications – indexation, certaines applications n’ont pas forcément un intérêt à être pré-chargées.
C’est le cas de l’application defolt qui se charge très vite et dont la page de pré-chargement n’apporte rien, voir casse un peu le principe de la page par défaut.
Et c’est aussi le cas de l’application upload qui charge vite mais qui peut à l’avenir permettre la synchronisation d’objets et de liens entre serveurs. Hors le passage par une page intermédiaire oblige le serveur distant à gérer le cookie de connexion avant de pouvoir envoyer des données.

La dernière version du bootstrap, qui va être bientôt publiée, reconnaît maintenant un lien pour désactiver le pré-chargement d’une application. Le comportement par défaut reste de pré-charger une application. Chaque application pourra, sur initiative du maître du code bachue ou d’une autorité locale, ne plus être pré-chargée.

Le lien de non pré-chargement a la forme :

  • action : f
  • source : objet de référence de l’application, par exemple = e5ce3e9938247402722233e4698cda4adb44bb2e01aa0687
  • cible : objet de référence de non pré-chargement = 9d019716a5335ee1f3bad59cbb9cc93132b0726129b26b52d6441a66c7c59a8d
  • méta : objet de référence de l’application, par exemple = e5ce3e9938247402722233e4698cda4adb44bb2e01aa0687

De plus, le problème de dépassement de mémoire est résolu. Il vient d’une pré-allocation de mémoire de la fonction file_get_content qui se fait parfois sur la totalité de l’argument $maxlen alors que le contenu réel est dérisoire… et qui ne libère pas cette mémoire en fin de fonction.

Enfin, la métrologie a été aussi grandement renforcée. L’avenir dira si cela a un impact négligeable sur les performances ou pas. En fin de bootstrap, les logs contiennent une trace de la mémoire maximum utilisée ainsi que les objets et liens lus et vérifiés :

Nov 27 12:21:36 bachue bootstrap/81bd1a52600b: 0.64311790466309 Mp=9698504 Lr=2720+4 Lv=355+4 Or=361+0 Ov=8+0

bootstrap – Mise en ligne

Une nouvelle 020161123 version du bootstrap est mise en ligne, le différentiel :

bc3f2cf23e92fa55fca4f20307236d7653726f9f7ca4593589316f3b8bdb9a53

Comme c’est un différentiel, il faut importer les liens puis copier les objets, et enfin remplacer le bootstrap. La bibliothèque et toutes les applications ont été mises à jour.

L’application 0 semble avoir des problèmes sur certains serveurs. Les serveurs de test ne semblent par contre pas concernés. Le problème est en cours d’investigation…

Renforcement de la lecture des objets – taille limite

Suite de l’article sur le Renforcement de la lecture des objets, type hash invalide et affichage.

Le renforcement de la lecture des objets et notamment la suppression sur empreinte invalide ou invérifiable entraîne un autre effet. Tout objet plus grand que la taille limite de lecture des contenus des objets, définit par l’option ioReadMaxData, est automatiquement supprimé lorsqu’on essaie de l’utiliser. Ce qui veut dire qu’il y a une valeur minimum à l’option ioReadMaxData pour ne pas empêcher le bon fonctionnement des applications.